Les pompiers sont des héros au courage exemplaire, rien ne les arrête, et quand il s’agit de porter secours, ils ne reculent devant rien pour sauver des vies en danger. C’est une évidence, ils sont adorés de la population et plus particulièrement des femmes. Elles voient en eux des hommes qui pourront les sauver, n’importe où et n’importe quand, quitte à mourir… Mieux encore, lors qu’après avoir éteint un incendie, la libido des pompiers augmente en flèche.
La libido masculine des pompiers
La libido se définit comme l’envie de s’adonner à une activité sexuelle, et elle survient de manière spontanée ou en réponse à des stimulations. Elle peut donc croître et décroître pour différentes raisons. Ce désir est conditionné par le mode de vie, les habitudes alimentaires, la fatigue, le stress, les évènements extraordinaires, l’adrénaline… Chez la gent masculine, parce qu’on parle de pompier ici, on entend souvent qu’ils ont tout le temps envie… surtout après avoir réussi à éteindre un incendie. Les raisons de cette montée de libido sont dues à l’adrénaline, à la sensation de peur, au stress, à l’affrontement de la situation, au défi, au choc… que la maîtrise du feu provoque. Tous ces facteurs stimulent et encouragent son désir sexuel. Donc, même en étant fatigué par l’accomplissement de ses tâches, le pompier ressent toujours l’envie de retrouver sa partenaire dans l’intimité.
Éteindre un incendie est tout un sport et même plus…
Circonscrire l’incendie, déployer la lance et arroser pour contenir le feu, atteindre le foyer qui progresse lentement sur les autres étages du bâtiment et maintenir un sinistre sous contrôle requièrent un véritable exploit aussi bien physique qu’intellectuel. Et quand il s’agit d’activités physiques, elles stimulent efficacement le désir. En effet, le secret d’une libido vigoureuse réside dans la production d’hormones. Pour le pompier, les activités physiques intenses au moment de l’incendie boostent la production de testostérone qui est à la base du désir sexuel. Elle stimule également la production d’endorphine, l’hormone du plaisir qui favorise la détente, c’est que le corps du pompier s’apprête déjà au moment d’après. Aussi, le simple fait d’être exposés au risque du métier conduit à une augmentation du taux d’adrénaline. Après avoir éteint un incendie, le pompier renforce directement son estime de soi, il se sent terriblement bien dans sa peau. L’équation est simple, au cocktail d’hormones s’ajoute une forte valorisation de soi-même, normal qu’il se sent d’attaque après…